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     Le Trait Breton doit son nom à la Bretagne dont il tient son nom. Son origine remonterait au Moyen Age. Au cours du 18 et 19ème siècle, afin d’améliorer la race, de nombreuses infusions de sang furent effectuées. Actuellement il existe trois variétés de Traits Bretons : le « Petit Trait Breton » qui se caractérise par sa petite taille de 1.50 m spécialement conçu pour les travaux des champs, ensuite le « Gros Breton » (obtenu à partir d’un croisement avec des percherons et des boulonnais) mesurant entre 1.60 et 1.70 m, destiné également aux champs ; et enfin le « Postier Breton » issu du croisement entre des étalons « Norfolk » importé d’Angleterre avec une jument de la province du Léon, plus léger que le gros breton qui a fait son apparition en 1905. Il était conçu pour tirer les diligences et les voitures des postiers. Ce dernier reste le plus populaire des trois. De nature docile, énergique, le trait breton est un excellent cheval d’attelage. Il se montre coopératif et gentil avec son éleveur quand il est dressé dès son plus jeune âge. C’est un cheval qui a besoin de toute l’attention de son maître.

    Sa robe : alezane, baie ou rouanne.

    Sa taille : 1,60m à 1,70m en moyenne.

    Son poids : 750 à 950kg environ.

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     Le Trait du Nord est originaire de la région du Nord de la France et fait partie de la famille des chevaux Ardennais. Au XIXe siècle, il fut croisé avec des Ardennais, des Boulonnais et des Traits Belges pour obtenir une meilleure race. Il était employé pour les travaux agricoles. A l’origine, il était nommé Trait Ardennais du Nord puis en 1913 il changea de nom pour s’appeler Trait du Nord. Mais en 1965 il reprit son véritable nom. En 1994, cette appellation de Trait du Nord fut officialisée. Le Trait du Nord est énergique et offre une utilité importante pour les travaux agricoles.

    Sa robe : brune et rouge, brune rougeâtre.

    Sa taille : 1,62m à 1,70m en moyenne.

    Son poids : 1000kg environ.

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    Le trotteur Français est aussi appelée « trotteur Normand ». La création de la race s’est principalement déroulée en Normandie vers le milieu du XIXème siècle, époque des premières courses de Trotteurs en France. Le Pur sang anglais, le Pur sang Arabe, le Norfolk, le Conquérant, le Niger, le Phaéton et l’Hackney furent impliquées dans la création de la race de 1840 à 1860. Le trotteur Américain, le Standard bred et l’Orlov furent importés respectivement des Etats-Unis et de Russie pour constituer également le trotteur Normand. La race fut au départ pour accomplir les tâches militaires. Le trotteur Français fut tellement brillant en vitesse que la race s’est développée considérablement en France et dans le reste du monde pour devenir des chevaux de course sur les hippodromes. La société du cheval demi-sang fut crée en France en 1864 pour devenir ensuite « la société d’Encouragement à l’Elevage du Cheval Français ». Le trotteur Français est un cheval très énergique.

    Ce cheval peut être très docile, calme, gentil et coopératif si son éducation se fait dès son plus jeune âge. Le Trotteur Normand excelle surtout au saut. La particularité de ce cheval réside dans sa capacité à courir aussi bien en attelage que monté.

    Sa robe : alezane, baie ou bai brun et rarement grise.

    Sa taille : 1,50m à 1,70m en moyenne.

    Son poids : 500 à 650kg environ.

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    Le Trotteur métis a été découvert en 1948 par les Soviets pendant une opération de regroupement de la population équine. Cette race provient du croisement entre des juments Trotteurs Orlov choisies pour leur rapidité et des Trotteurs Américains (Standard bred), importés des Etats-Unis entre 1890 et 1914. Les premiers résultats donnèrent des races plus rapides que les Trotteurs Orlov. Le Trotteur métis se caractérise par une nature propre.

    Sa robe : brune et noire.

    Sa taille : 1,62m en moyenne.

    Son poids : 400 à 700kg environ.

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